Le Voleur de voitures // Theodore Weesner

Le Voleur de voitures // Theodore Weesner

Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Charles Recoursé
Postface de l’auteur

1972

440 pages // 23 euros

ISBN : 979-10-92159-07-3
Diffusion-distribution : Les Belles Lettres
Parution : 14 septembre 2015

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Le voleur de voiture-couvAlex, seize ans, vient de voler sa quatorzième voiture. Pas pour la revendre ou se lancer dans un trafic, non, juste pour conduire, s’évader d’un morne quotidien coincé entre une scolarité dont il s’est totalement désintéressé et une famille éclatée – un père alcoolique ouvrier chez Chevrolet, une mère partie ailleurs en emmenant avec elle son petit frère.

Largement inspiré de la jeunesse de l’auteur qui, comme Alex, découvrit la lecture en maison de correction après avoir été arrêté au volant d’un véhicule qui n’était pas le sien, Le Voleur de voitures arrive à créer un personnage universel, un adolescent paumé qui sombre dans la délinquance sans même en avoir conscience. Il s’embourbe mollement, espérant se faire arrêter pour que quelque chose vienne, enfin, perturber son existence morose.

En suivant l’inexorable coulée de ce personnage qui perd pied, Theodore Weesner tresse un roman initiatique sensible et émouvant sur les relations père-fils, sur l’apprentissage de l’amour à l’adolescence, la recherche du frère perdu et la fin de l’enfance.

Inédit en France, Le Voleur de voitures est considéré comme un classique de la littérature américaine, sans cesse réédité aux Etats-Unis, paru en Angleterre, au Japon, en Allemagne, en Roumanie et récemment en Italie. Les droits du roman ont été achetés l’an dernier par le cinéma.

Theodore Weesner

 

« Un premier roman remarquable et passionnant. » 

Joyce Carol Oates

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> Le début du roman : cliquer ici.

> Le dossier de presse : cliquer ici.

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REVUE DE PRESSE


☞ « L’un des plus grands romans d’apprentissage du XXe siècle. »
  The New York Times 

☞ « Theodore Weesner est un écrivain extraordinaire. »  Richard Yates

« Le Voleur de voitures évoque le désœuvrement poignant des 400 Coups de Truffaut. »  Newsweek

☞ « Le dénouement est l’un des plus bouleversants de la littérature américaine. »  The New York Times Book Review

☞ « Un roman tout simplement extraordinaire. Alex Housman apparaît comme un Holden Caulfield en col-bleu. » Kansas City Star

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 Le Monde des Livres consacre une page à ce « superbe hymne à l’amour filial ». > LIRE

 Le Monde des Livres avait déjà évoqué le décès de Theodore Weesner fin juin 2015. > LIRE

☞ Le Vif/L’Express consacre cinq pages (5 !) aux éditions Tusitala et au Voleur de voitures. > LIRE

☞ Dans Les Inrockuptibles, Bruno Juffin parle d’un « roman d’une fascinante singularité, dans lequel la poésie la plus lumineuse jaillit du plus noir désespoir ». > LIRE

 Livre-Hebdo cite, sous la plume de Claude Combet, Le Voleur de voitures parmi sa sélection de la rentrée étrangère 2015. > LIRE

 Le Matricule des Anges consacre une page à ce « subtil autoportrait d’une adolescence en déshérence ». > LIRE

☞ Causette, sous la plume de Cédric Fabre, parle d’un roman « lumineux » d’une « troublante sincérité ». > LIRE

☞ Sur Radio Nova, Le Voleur de voitures a eu les honneurs de la Nova Book Box de Richard Gaitet. > ECOUTER

☞ Sur Radio Campus Lille, l’émission Paludes clame son amour pour Theodore Weesner. > ECOUTER

 Le blog Encore du noir fait l’éloge du Voleur. LIRE 

 Le blog Diacritik, à travers les doigts de Lucie Eple, parle de son émouvante lecture. > LIRE

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LES LIBRAIRES EN PARLENT

 

☞ L’avis de Benoît Minville, de la Fnac La Défense (92) : « Un roman d’apprentissage qui remue les émotions de la vie, touche au cœur et emmène cet ado inoubliable dans une œuvre évoquant aussi bien Price de Steve Tesich que Les 400 coups de Truffaut. Un immense texte. »

Sébastien Lavy, de la librairie Page et plume à Limoges (87) : « Hautement autobiographique, c’est un roman d’apprentissage, un roman sur la délinquance juvénile, sur la relation entre un père et son fils, on partage la vie d’Alex Houseman sur plus de 400 pages, on traverse les épreuves avec lui, on conduit une voiture volée, on prend des coups, on est enfermé en maison de correction, on joue au basket, on est amoureux mais la dépression et le désespoir ne sont jamais loin. Sensible et émouvant, un roman essentiel de cette rentrée, une grande découverte. »

☞ Jean-Yves Bochet, de la librairie L’Iris noir (Paris 11e) : « Après avoir publié deux livres d’Oscar Zeta Costa,Tusitala, jeune maison d’édition continue avec Le Voleur de voitures, à nous faire découvrir des petits morceaux de la littérature américaine restés encore inconnus et l’on ne peut que leur souhaiter d’en dénicher beaucoup d’autres. » > LIRE ICI

☞ Mathilde Guiraud de la librairie Delamain (Paris 1er) : « Je viens de finir Le Voleur de voitures. Waow ! »

☞ Philippe Guazzo du Comptoir des mots (Paris 20e) : « Si les voitures sont datées (fin 50’s), ce parcours d’adolescent légèrement hors-cadre s’impose comme universel, porté par une écriture impressionnante de justesse. » (lire ici)

☞ Quentin Liabaud de la librairie Passages à Lyon (69) : « Un roman initiatique écrit d’une plume incroyablement belle et sensible ! Ce fabuleux roman est à découvrir et à redécouvrir ! » (A lire ici)

☞ Valérie Caffier du Divan (Paris 15e) : « Ce gamin sans cesse au bord du gouffre, son père si blessé mais qui aime tant son fils, leurs solitudes, leurs blessures m’ont beaucoup touchés. C’est un très beau roman sur l’adolescence, la quête d’identité et la différence. Un de mes coups de cœur de cette rentrée 2015. »

☞ L’avis de Claire de Livres aux trésors à Liège (Belgique) : à lire ici.

☞ Ilham Ennaciri de la Librairie des Batignolles (Paris 17e) : « Un roman sensible et marquant sans en dire trop. Il n’y a rien de superflu. Difficile de croire que l’adolescent que l’on suit et à qui l’on s’attache sera celui qui écrira et publiera ce très beau roman. Un vrai coup de coeur ! »

☞ Jacky Flenoir de la librairie Calligrammes à La Rochelle (17) : « Un roman qui navigue entre Sale temps pour les braves de Don Carpenter et Price de Steve Tesich. Les éditions Tusitala continuent leur beau travail de dénicheur. »

☞ Isabelle Charmette de Gibert Barbès (Paris 18e) : « Un roman ciselé dans l’adolescence, gravé dans l’émotion. Une petite tranche de vie qui vous apporte un supplément d’âme. S’il n’y avait qu’un roman à retenir de cette rentrée, ce serait bien celui-là ! »

☞ Etienne Garnier, de la librairie La Vie devant soi à Nantes (44) : « Le roman initiatique d’un anti-héros en manque de repères. Brut, direct, poignant. »

☞ La librairie Charybde (Paris 12e) parle sur son blog d’un « premier roman authentique et poignant ».

☞ Aurélie Garreau du Monte-en-l’air (Paris 20e) : « De séjours en maison de correction en tentatives de rachats, Alex se cogne à une existence faite d’espoirs déchus mais aussi de ce qui l’arrachera à sa destinée de jeune délinquant : la littérature. Attachant et rythmé, on suit Alex d’espoir en désespoir, et savoir que ce texte est autobiographique et que l’auteur a ensuite publié d’autres romans donne une puissance et un sens plus grand encore à ce récit touchant de cette adolescence rebelle et douloureuse, mais bien vivante ! » > LIRE ICI

 

Tusitala